Un secret sans importance (Agnès Desarthe)
On prend les mêmes et on recommence.
Une couverture à laquelle je ne résiste pas, celle à l'olivier :
(Sauf que je ne me souviens pas de cette photo sur la couverture, tiens, elle n'y était peut être pas sur celui de ma bibliothèque).
Une femme écrivain que je confonds avec une autre (cette fois je sais, c'est avec Geneviève Brisach ! Ne me demandez pas pourquoi, je dois avoir une mémoire organisée "par couverture"...) et dont je n'ai semble-t-il rien lu d'autre.
Peu de souvenirs, juste des flashs: quelques personnages fragiles, égarés, que cette fragilité a rendu tantôt attachants (la poétique Violette) tantôt agaçants (son soupirant égocentrique). L'espoir en lisant qu'ils puissent se faire du bien les uns aux autres, se relever, s'en tirer. L'impression que ça n'est peut-être pas (plus?) à leur portée, que la seule qui soit vraiment forte est la presque morte...
Comme toujours dans cette collection, j'ai plutôt aimé. Mais de façon plus superficielle que d'autres fois, le ballet des personnages ne me réjouissant pas autant que dans d'autres lectures.
Et je ne me souviens plus du secret, zut !